J’ai déjà posé sur papier un protocole expérimental basé sur une approche totalement nouvelle des phénomènes PSI. L’idée ? Les étudier comme un système dynamique, en utilisant une méthodologie proche de celle employée en météorologie : observation continue, collecte massive de données et modélisation des conditions favorables.
L’étape suivante était de tester la faisabilité avec l’IA. Des essais ont été faits pour voir si une intelligence artificielle pouvait détecter des corrélations invisibles entre l’état physiologique, l’environnement et des phénomènes PSI rapportés par les participants. Les premiers résultats sont là : ça fonctionne.
Maintenant, il faut passer à l’expérimentation réelle.
Ce projet entre donc dans la catégorie IDÉES, non pas parce qu’il est encore flou, mais parce que c’est le moment de le confronter au terrain. L’idée est là, le cadre est posé, les outils sont en place… il ne manque plus que la pratique pour valider cette approche.
Si les phénomènes PSI fonctionnent comme un système météo, avec des fenêtres favorables et des conditions optimales, alors il est temps de les capter comme on capte des variations atmosphériques.
Affaire à suivre.
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