Parmi les expériences qui ont nourri mon cheminement personnel, il y a celle de la communication subtile avec les plantes et les cristaux. Ce n’est pas une démarche que j’ai entreprise par hasard, mais parce que certaines situations concrètes m’y ont amenée.
Une collection de pierres... oubliée, mais pas par hasard
Tout a commencé lorsqu’un proche, que j’accompagnais en soins énergétiques, m’a demandé de me protéger énergétiquement. Cette requête m’a rappelé une collection de pierres naturelles que j’avais constituée des années auparavant, sans vraiment savoir pourquoi. Plus de cent pendentifs, tous accompagnés de leur fiche explicative.
Depuis, je choisis chaque matin une pierre intuitivement, sans réfléchir. Et à chaque fois, la signification que je découvre ensuite dans le fascicule correspond parfaitement à mon état d’esprit ou à ce que je vis ce jour-là. À chaque fois. Une synchronicité troublante… et suffisamment répétée pour ne pas être ignorée.
Des expériences encadrées et reproductibles
Lors d’un stage de communication subtile, nous avons élargi notre perception à d’autres formes de vie : les végétaux et les minéraux. L’un des exercices consistait à choisir une fleur ou un arbre selon l’image qui nous appelait. Ensuite, deux méditations guidées permettaient de noter toutes les perceptions spontanées dans un carnet. À la fin, on retournait la carte pour lire le message associé.
Sur les douze participants, tous ont retrouvé des éléments dans leur propre texte qui correspondaient aux informations écrites au dos de la carte. Même si ce n’était pas mot pour mot, l’essence du message était présente. Ce n’était pas une coïncidence, mais bien un accès à de l’information autrement.
Le lieu, les ressentis, l’histoire
Un autre jour, en pleine nature, la formatrice nous a demandé de ressentir un lieu sans rien en savoir. À douze, nous avons capté des éléments différents, mais en les mettant ensemble, une histoire cohérente s’est dessinée… et elle correspondait à la réalité historique du lieu. Encore une fois, l’intuition collective a permis de reconstruire un récit invisible.
Le choc vibratoire du lapis lazuli
Une expérience marquante a été celle avec une énorme pierre de lapis lazuli. Lorsqu’elle a été posée devant moi, j’ai immédiatement ressenti une oppression physique, au niveau de la cage thoracique. Ce malaise s’est arrêté instantanément lorsqu’une couverture a été posée sur la pierre.
Lors de la méditation qui a suivi, j’étais dans une inconfortable agitation physique. J’ai fini dehors. Et c’est là que j’ai eu une sorte de message collectif : les pierres exprimaient leur colère face à la manière dont on les extrait, les utilise, sans considération pour leur origine ou leur énergie.
Ce message m’a tellement surprise que j’ai fait des recherches sur les conditions d’extraction des minéraux. Et oui, dans de nombreux cas, ce processus est très peu respectueux du vivant.
Les arbres comme relais d’information ? (J'ai avancé sur le sujet depuis, cf l'article sur l'eau)
Un jour, l’un de mes chats s’est perdu. L’orage approchait, et au bout de deux jours, j’étais désespérée. J’ai alors demandé, en conscience, à un arbre près de chez moi de guider mon chat jusqu’à moi.
Quelques heures plus tard, un orage d’une violence rare s’est abattu. J’ai cru ne jamais revoir mon chat. Et pourtant… il est réapparu, en hurlant, trempé, paniqué, mais vivant. Je ne saurai jamais si l’arbre y est pour quelque chose. Mais le timing, la connexion, l’intensité émotionnelle m’ont profondément marquée.
Ce que j’en retiens
Je ne cherche pas à prouver ou à convaincre. Ce que je constate, c’est que j’ai eu accès à des informations pertinentes, de manière non conventionnelle, à de multiples reprises.
Cela m’a menée à une certitude intime :
👉 Nous faisons partie du vivant.
👉 Nous avons rompu le lien, mais il est encore accessible.
👉 Et il est urgent d’apprendre à réécouter ce qui nous entoure.
Chaque expérience que j’ai acceptée, même étrange ou ésotérique en apparence, a été le déclencheur d’une recherche plus vaste. Ces expériences ne sont pas des fins en soi. Ce sont des points de départ. Et ce sont elles qui m’amènent, aujourd’hui, à interroger les mécaniques de l’univers, les éléments, et à chercher une compréhension plus profonde du monde auquel nous appartenons.
Pour aller plus loin:
Le corps humain est une merveille d'ingénierie biologique, composé d'une variété d'éléments chimiques qui jouent chacun un rôle essentiel dans notre fonctionnement quotidien. Environ 99 % de la masse corporelle est constituée de six éléments principaux : l'oxygène, le carbone, l'hydrogène, l'azote, le calcium et le phosphore. SCIplanet - Chemical Elements in the Human Body
1. Oxygène (O) – Environ 65 % de la masse corporelle
L'oxygène est l'élément le plus abondant dans le corps humain. Il est principalement présent dans l'eau (H₂O), qui constitue une grande partie de notre corps. L'oxygène est vital pour la respiration cellulaire, le processus par lequel nos cellules produisent de l'énergie.
2. Carbone (C) – Environ 18 %
Le carbone est le pilier des molécules organiques, formant la structure de base des glucides, des lipides, des protéines et des acides nucléiques. Il est fondamental pour la chimie de la vie, permettant la complexité moléculaire nécessaire aux processus biologiques.
3. Hydrogène (H) – Environ 10 %
L'hydrogène, combiné à l'oxygène pour former l'eau, est omniprésent dans le corps. Il participe également à de nombreuses réactions chimiques et est un composant clé de presque toutes les molécules biologiques.
4. Azote (N) – Environ 3 %
L'azote est un composant essentiel des acides aminés, les éléments constitutifs des protéines, et des acides nucléiques comme l'ADN et l'ARN, qui portent notre information génétique.
5. Calcium (Ca) – Environ 1,5 %
Le calcium est bien connu pour son rôle dans la formation et le maintien des os et des dents. Il est également crucial pour la contraction musculaire, la transmission nerveuse et la coagulation sanguine.
6. Phosphore (P) – Environ 1 %
Le phosphore se trouve principalement sous forme de phosphates dans le corps. Il est un constituant majeur de l'ATP (adénosine triphosphate), la molécule énergétique des cellules, et des acides nucléiques. De plus, il contribue à la formation des os et des dents.
Outre ces éléments majeurs, le corps humain contient également des quantités moindres d'autres éléments essentiels tels que le potassium, le soufre, le sodium, le chlore, le magnésium, le fer, le zinc, le cuivre, l'iode et le sélénium. Bien qu'ils soient présents en plus petites quantités, ces éléments jouent des rôles cruciaux dans diverses fonctions biologiques, notamment la transmission nerveuse, l'équilibre hydrique, et comme cofacteurs pour de nombreuses enzymes.
Il est fascinant de constater que les éléments qui composent notre corps sont les mêmes que ceux que l'on trouve dans la croûte terrestre et dans l'univers. Cette similitude souligne notre connexion profonde avec le cosmos, illustrant que, d'une certaine manière, nous sommes véritablement faits de "poussières d'étoiles".
Une contradiction silencieuse mais profonde
Ce qui est étonnant – voire déroutant – c’est que l’on accepte facilement d’utiliser les propriétés des minéraux pour créer des outils de haute précision (montres à quartz, circuits électroniques en silicium, aimants puissants à base de terres rares…) ou encore pour supplémenter notre corps en cas de carence (fer, magnésium, zinc, etc.), mais on continue à marginaliser ou à ridiculiser l’idée que ces mêmes minéraux puissent interagir subtilement avec le vivant. Pourtant, si l’on reconnaît leur impact sur la matière, sur les champs électromagnétiques ou sur les fonctions biologiques humaines… comment peut-on en nier les effets à un autre niveau, plus subtil, mais tout aussi réel ?
Ce paradoxe révèle sans doute une limite dans notre façon d’appréhender la réalité : on accepte ce qui est mesurable de manière conventionnelle, mais on écarte ce qui ne rentre pas encore dans nos cadres normatifs. Et pourtant, l’eau, le vivant, le corps humain, l’ADN… réagissent à des champs subtils, et des études en biophysique, en électromagnétisme ou encore en cristallographie commencent à le démontrer. Il est donc peut-être temps de sortir du "soit science, soit croyance", et de reconnaître que la frontière entre les deux s'amenuise quand on s’ouvre à une compréhension plus globale, plus vibratoire, plus cohérente du vivant.
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